petit poeme (1)

Cerise, si j'ai bien compris toi aussi tu t'es rendue d'abord au cimetière marin sur les hauteurs de Sète....
Et en effet sa tombe se trouve bien au cimetière des pauvres sur le bas de Sète.
D'ailleurs on peut repèrer sa tombe de loin car elle est la seule sur laquelle a été planté un pin parassol ( de préférence..) les autres plantations étant des cyprès.
Un magnifique musée se trouve juste à côté. ( Mais bon si vous preferez le RAP il ne faut pas y aller.)
Et puisque je suis dans la rubrique Poèmes il chantait aussi:
"Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan...".

ou chantaient des cigales aux chants inégalés
que l'on cherchait dans les branches courbées
Et,jamais,elles n'apparaissaient
seuls, leurs chants nous berçaient...

.

Marius,l'ordinateur de Colette
a besoin d'une grosse sieste.
Du 1er au 8,il sera inactif
mais reviendra un peu plus vif.
Vous allez lui manquer
ça c'est tout à fait vrai.
peut etre nous dira t il ce qu'il aura rêvé ...

Ne t'en fait pas petit ordi
les mains souple de l'expert
vont sans doute te redonner vie
bientot tu pourras lire ces vers

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Chante- nous,mon Ardèche ton si joli patois,
le miel cru de la brêche sur notre table roi.
Découvre le mystère de tes poètes en freur,
conter à leur manière,la magie du bonheur.
Dans ta beauté sauvage se cache des trésors,
des prophètes et des sages que nul ne connaît encore.
Raconte-nous l'histore de ce vieux paysan,
qui dans sa mémoire les plus beaux soirs d'antan.
Il montre le visage de l'homme enraciné,
la terre en héritage lui donne sa fierté.
Ne croyez pas surtout que c'est par dureté,
il a pour lui le goût de simple liberté.
Voyez ses mains ouvertes sa peau toute fripée,
Dans ses doigts,tant de gerbes ont fait mûrir les blés.
Ses yeux ont la lumière d'un eternel pritemps.
Courbé dans sa chaumière il voit passer le temps..
CHANTE MON PAYS LA DOUCEUR DE TON CIEL

3 ligne lire :tes poètes en fleur

Allez,on va créer un autre poême puisque Colette et Bogue ne bougent plus :
ELLE REVIENT A MAYRES?L'HIVER ARRIVE AUSSI
ELLE A LES YEUX QUI BRILLENT,LE BOUT DU NEZ ROUGI

Elle se remémore les jours passés ici
Les moments de fou rire avec ses amies

L’hiver amer abrége les belles journées
Les souvenirs s’égrènent près de la cheminée
Au bord du cœur s’épuisent les rendez-vous manquée
Sa bouche sèche radote tous les baisers volés

Jours passés,à jamais évanouis
Et,les seuls pourtant ,qui de loin nous sourient
On se revoit,on se regarde,on rit,on parle,
Le passé a rejoint le présent
Tel un pont parsemé d'étoiles...

Capucine,Bogue et Colette vous ètes formidables !!!

Cerise merci

Sans cerises,petit printemps..
Bogue,annonce l'automne,
Capucine,couleur des beaux jours
Vous chantez toutes l'Amour...

Refrain:

Ah! Colette tu es la reine des paupiettes

Merci Colette je suis ravie d'être de la couleur des beaux jours.

Ardèche,que racontes-tu
Le long de ton parcours ?
Toi,qui cueilles mille secrets
Venus de tes berges aimées
Tu ne leur dis pas tout ?
Moqueuse,tu passes et penses à nous ?
Tu vas rieuse ,et portes au Rhône
Tous les clochers qui sonnent
dessinés sur tes galets lissés
ou se cachent les secrets...

Quitter mon village pour partir en voyage
être libre, vivre les rire et les sourires
s'ouvrir, courir, puis décider de revenir
quitter les échanges pour respirer mon village

Partir et toujours revenir
bonheur toujours renouvellé
lorsque le clocher apparaît
et avec ,tous ses souvenirs...

bonheur toujours renouvelé !

Forum,fais tes valises
ou pourrions-nous partir?
Voir le Pont des Soupirs
Dans la belle Venise?...

Voir les dunes au couchant
Dans la vallée de l’orient ?
Voir la lave rouge sang
Sur les pentes du volcan ?
Voir les eaux de l’océan
Dans le murmure du vent ?

Chut…
pose ta bouche sur mes maux
plus un souffle, plus un mot
restons ici collé serré
tricotons le temps sacré

Plus un souffle,plus un mot,
Restons tremblants devant ces beautés.
Promenons nous,sac au dos,
foulons les sables dorés,

Allons jusqu'aux palmeraies
courbées par la force des vents
qui saluent l'infini du désert.
Mais,aurons nous le temps?

Mais, aurons-nous le temps?


Le chemin se fait long
et pourtant tu avances.
Ton pas hésite à descendre,
le noir se fige à l'horizon
pour éloigner la sentence
tu fredonnes notre chanson

à l'approche du silence
tu trembles!