petit poeme (1)

Tremble,c'est que tu vis.
Vis pleinement,chante,ris.
Dérange,mais clame ta liberté
Le temps qui passe sera doré !
Lorsque le silence te happera
Sans regret,tu tendras les bras.

Un amoureux de douze ans
Promet à la petite Marina
D'être chaque jour devant sa porte,
Bien avant qu'elle ne sorte.
Innocent,fougueux,joyeux
Amour rimant avec toujours
Ne doutant pas que le ciel bleu
Qui habite leurs yeux
Devienne gris un jour !
Mais devant combien de portes
Priera -t-il afin que sorte
Celle qui fera de ses jours
Un long chapelet d'Amour
Qui pourrait rimer avec toujours...

colette vos poemes sont tres bien surtout pour la memoire et l ortogrophe car les neurones vieillissent merci bon dimanche

Sur mon chemin au doux printemps
De beaux raisins, ils sont fruités
J’espère y croquer dedans
Un deux trois bientôt l’été

Sur mon chemin l’été venu
Le cœur léger le nez au vent
Le raisin à tout rendu

Quatre cinq six pour longtemps

Sur mon chemin c’est flou, tout bouge
Le vin m’a donné soif de toi
Si le ciel est bleu je suis rouge

Sept huit neuf, je vole, je tournoie

Sur mon chemin je suis vivante
Fini les charmants sarments
Je laisse mon cœur en attente

Dix onze douze les serments

Sarments réchauffant la cheminée
Serments envolés dans l'été
Serrements de coeurs brisés
Sûrement la neige est arrivée!
La neige sur ton chemin creux
la neige sur tes doux cheveux
Rafraîchis ton coeur brûlé
contre les vitres givrées...

La neige et le pépé!


Le pépé sur son banc redevient un enfant.
Sa moustache frise sur un sourire sans dents,
ses yeux pétillent et sa canne se balance.
Pour laisser des traces ses jambes s'élancent
sous ce rideau blanc qui apaise ses tourments.
Ses pas donnent le ton pour une petite danse,
une valse, une révérence dans ce blanc silence.
Le pépé loin de son banc redevient un enfant

L'enfant deviendra -t-il pépé?
Que se cache-t-il derrière ce front à présent lisse?
Cette bouche rieuse,ces cheveux follement bouclés,
Un enfant terrible,un ado amoureux,un agent de police?
Un mari fidèle,un papa gâteau,un pépé merveilleux?
Un homme des bois,un homme poursuivi?
Un secret bien gardé dans son joli coffret!
L'enfant deviendra-t-il pépé?

Février pointe son nez.
Que cache t il sous son bonnet?
Du vent ,des tourments,du froid?
Ou nous fait- il deviner le printemps
Qui s'approche à petits pas lents?
Une senteur,une douceur,un espoir
Semble couver sous le verglas.
La neige fond,la tempête s'éloigne
Nos yeux levés vers le ciel nuageux
Attendent un signe chaleureux,venus des dieux...

Où êtes vous? Qu'êtes vous devenue?
Ma douce amie, vous souvient-il, des jours lointains de notre enfance, Et de nos jeux et de nos danses, et de nos rêves puérils ?
Vingt ans déjà, c'était hier! Or vous me demandez des vers, ce que je n'ai jamais su dire, comment pourrais-je vous l'écrire ?
Mais je me souviens de cette grade amitié, qui a duré jusqu'à la fin, qui hante mon esprit ,mais je te retrouverai celà c'est sûr!
A mon amie Monique
Un peu d'un auteur, un peu de moi....

je suis hors sujet ; mais merci a tous ceux qui m ont soutenu moralement et en particulier colette bisous a vous tous pardon patrick je suis hors sujet

Bonjour Annie,je suis heureuse que tu sois revenue ,j'espère que tu vas bien maintenant .Pour ton texte tu n'es pas hors sujet puisque c'est "blabla,on parle de tout ",je t'embrasse

merci cerise gros bisous a bientot petit

Pour rester dans la "nostalgie", mais c'est l'hiver, il pleut...je vous livre quelques vers d'Anna De Noailles,La Jeunesse:

Tout le plaisir de vivre est tenu dans vos mains,
O jeunesse joyeuse, ardente, printanière,
Autour de qui tournoie l'emportement humain
Comme une abeille autour d'une branche fruitière !

..................................................................... .

Ah! jeunesse, pourquoi faut-il que vous passiez
Et que nous demeurions pleins d'ennuis et pleins d'âge,
Comme un arbre qui vit sans lierre et sans rosier,
Qui souffre sur la route et ne fait plus d'ombrage...


Promis, je trouverai quelque chose de plus gai, la prochaine fois..

On n'est pas sérieux,quand on a dix-sept ans
Un beau soir,foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants!
On va sous les tilleuls verts de la promenade.
On n'est pas sérieux,quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade...

Vaut mieux imaginer la suite,avec Rimbaud,on ne sait jamais,c'est souvent aussi beau que triste!

On va sous les tilleuls verts de la promenade.
Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ;
Le vent chargé de bruits, - la ville n'est pas loin, -
A des parfums de vigne et des parfums de bière...

Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
D'azur sombre,encadré d'une petite branche,
Piqué d'une mauvaise étoile,qui se fond
Avec de doux frissons,petite et toute blanche...

Pourquoi la Nostalgie d'une époque où les jours ne ressemblaient pas forcement à des cartes postales ?
C'était l'époque de l'avenir.
La Mort était tenue en respect durant les années qui s'offraient à nous, nous étions invulnérables.
Ici et maintenant le danger nous menace et demain sera peut-être un jour froid un jour sans nous, alors...Bonjour la Nostalgie.

Bonjour Bogue,ou étais tu passée?Tu nous manquais!
Pour la Nostalgie,tu as bien raison,
Mais voilà,elle s'impose,se cache ,réapparaît,
Sans que nous ne l'appelions jamais.
Alors s'y complaire ou la rejeter?
Quelquefois,elle nous permet de rêver
Je te l'accorde,c'est toujours au passé...

Je navigue
Le premier jour du monde sans nous,à l'aube de ce petit jour glacial, carillonne à nos oreilles. Alors pour caramboler encore un peu, la vieille canne en bois que l'on appelle "nostalgie" est parfois nécessaire.